L'histoire de Maison Aimi

Coucou moi c'est Charlotte, la fondatrice de Maison Aimi.

J'ai créé Maison Aimi parce que j'ai à coeur depuis longtemps de trouver du sens dans mon travail, un travail qui me permettrait de m'exprimer pleinement à travers ma créativité et ce que j'aime. Un projet qui a du sens aussi pour notre bien-être et notre planète. 🌱

J'ai toujours été passionnée par la culture asiatique, et japonaise plus particulièrement. Je rêvais depuis longtemps de créer un projet autour de cette passion. J'ai aussi toujours eu un grand intérêt pour le domaine du bien-être, de l'alimentation et de la santé autour de solutions naturelles.

Le mugicha est pour moi l'incarnation même de la "santé à la japonaise", du lifestyle à la japonaise aussi. Cette boisson est si pleine de potentielle et pourtant si peu connue en France. J'ai donc à coeur de vous la faire découvrir. ✨

Comment m'est venu l'idée de Maison Aimi et du mugicha ?

Un burn out du salariat et des remises en question

Après des années d’études à me chercher, après un master en marketing digital et 2 années de design, mon premier job en CDI s’est présenté à moi comme une opportunité de grandir. Je l’ai saisi et j’en suis très ravie. J’ai beaucoup appris, et sur moi aussi. Mais au bout de quelque temps, je sens que je ne suis plus alignée, que je dois construire mon propre chemin avec mes propres règles.

En juin 2021 après une sorte de burn out du salariat, je quitte mon emploi.

Je rêvais d’une seule chose : la liberté. La liberté spacio-temporelle mais aussi créative. Créer mon propre métier et mes propres règles. Le salariat c’était fini pour moi. Rien que d’y penser me donnait de l’anxiété.

Il s'ensuit une période de questionnement, de remise en question.

Un rêve de liberté

Je rêve de liberté mais comment l’atteindre ? Qu’est ce que je veux au fond ? Pendant environ 5 mois je teste différentes voies, j’essaye d’apprendre à me connaître, à comprendre ce que je veux réellement. Au bout d’un moment je ne sais toujours pas. J’essaye des choses, freelance en communication, la cuisine, le design et puis je sens que la sauce ne prend pas. Je rame, je sens une perte de motivation.

En même temps à ce moment-là, je sais que j’ai aussi un rêve en tête depuis longtemps, celui de partir au Japon, m’immerger 1 an dans cette culture qui me passionne tant. Mais on est début 2022 et pas de signe d’ouverture des frontières. Alors que faire en attendant ?

Je rêvais depuis longtemps de créer mon propre métier. C'était le moment.

Le déclic : créer son propre métier autour du Japon

Toujours dans la quête de ce fameux projet professionnel qui me ferait vibrer, un jour j’écoute un podcast qu’une très bonne amie à moi m’envoie en me disant « écoute, ça te plaira ».

C’était sur l’histoire d’une nana qui avait à peu près mon âge, un parcours presque similaire à quelques différences près, et qui du jour au lendemain se rend compte qu’elle ne veut plus continuer comme ça, un billet d’avion en poche s’envole au Japon pour lancer sa marque en rapport avec la culture japonaise de retour en France.

Elle décide de créer son métier de A à Z. Et je me suis tellement reconnue en elle : son envie d’avoir un métier qui lui fait découvrir toutes les facettes d’un projet au lieu de ramer à se spécialiser, son envie de mêler ses passions et ses intérêts, la santé, le bien-être mais aussi les langues, l’international, la découverte d’autres cultures, et notamment pour moi, le Japon.

Bref j’ai eu un déclic et je me suis dit « MAIS C’EST MOI ÇA. JE DOIS FAIRE ÇA. ».

Le mugicha et une envie de transmettre un style de vie à la japonaise

Alors à partir de là, je me suis dit simplement : « Charlotte, qu’est ce qui t’a marqué en allant au Japon et qui te manque en France ? Qu’est ce que tu as envie de faire découvrir ? De transmettre ? ». Et là c’était évident. Ce qui m’a marqué notamment là-bas, c’était cette culture, cette habitude d’avoir à disposition partout et à n’importe quel moment de la journée, du thé servi chaud ou froid. Là bas c’était presque un substitut à l’eau et c’était SAIN. Et ça retransmettait tellement cet état d'esprit japonais qui me fascine. Mais je ne voulais pas me lancer dans le thé qui était déjà très implanté en France et surtout, je n’aurais pas eu l’impression d’apporter quelque chose de nouveau.

Et c’est là que je pense au mugicha : cette boisson que je buvais au Japon, agréable, désaltérante, sans caféine, sans théine, sans sucre et riche en bienfaits, c’était ÇA que je voulais transmettre, cette culture là.